The Leftovers 102 - Penguin One, Us Zero
C'est vraiment sympa cette série mais il ne vaut mieux pas la suivre en espérant se vider agréablement l'esprit pendant l'été.
Quelques semaines se sont passées depuis l'épisode précédent. Kevin, le flic sexy, est le seul à croire que le chasseur de chiens existe vraiment. Les autres le prennent pour un mythomane. Et en plus, ses donuts disparaissent.
Comme ses collègues, j'ai longtemps cru que Kevin avait des hallucinations. Mais le fait que sa fille et sa copine voient également Dean m'a fait oublier cette idée. Et en plus, il retrouve ses donuts.
J'attends de voir comment ce duo va évoluer, ça peut vraiment donner du bon.
Jill, Aimee et les jumeaux évadés de Teen Wolf sont vraiment le gros point noir de l'épisode à mon goût. Je ne supporte pas ces filles, elles passent leur temps à faire n'importe quoi et elles m'horripilent.
Kevin ferait bien mieux de s'occuper de son fils Tom qui file un mauvais coton dans son ranch.
Il réussit tout de même à échapper à l'attaque du FBI en compagnie de Christine et à rejoindre le messie gourou toujours aussi cinglé. Je suis contente qu'ils s'éloignent de lui, cet homme est vraiment malsain.
Du côté de la secte des fumeurs muets, j'ai un instant cru que Meg allait partir mais je pense que la fin d'épisode montre le contraire.
On profite aussi de cet épisode pour faire la connaissance du père de Kevin, qui est aussi cinglé que le reste de la famille. Au moins, on est dans la continuité.
Et il fricote avec la maire du village. On peut comprendre que notre flic sexy soit bien perturbé quand on voit les gens qui l'entourent.
A part ça, je n'ai toujours pas compris le rôle de Christopher Eccleston, ni pourquoi le femme dont toute la famille a disparu va voir des petits vieux en leur posant des questions bizarres.
J'espère que nous aurons la réponse bientôt.
La musique est elle toujours aussi chouettes. Elle réussit à rendre l'ensemble très magnétique. Et me voilà captivée par une série bien étrange, dont je peine pourtant à comprendre où elle compte nous mener.