The Leftovers 107 - Solace for Tired Feet

D'un seul coup, on avance bien avec cet épisode.
Après des semaines à découvrir les personnages et à devoir deviner nous mêmes ce qu'il se passe, les situations semblent s'éclaircir. Et les mystères se compliquent d'eux mêmes.

Avec un évènement tout bête : le père de Kevin s'échappe de son hôpital psychiatrique pour gambader dans les bois. Je ne reviendrai pas sur le passage du frigo, les gamins de cette série sont vraiment des débiles profonds. Tous.

Kevin Garvey Senior recherche donc son fils pour lui donner un numéro du National Geographic et pour lui dire de rester vigilant, d'arrêter les médicaments et de se réveiller.
Se réveiller à quoi? C'est le mystère qui reste encore même si je pense bien sur aux voix que le grand père entend et qui font écho aux hallucinations de Kevin et à ses inquiétantes pertes de mémoire.
Notez bien que Papy Garvey a commencé à débloquer il y a 3 ans, c'est à dire quand les disparitions ont eu lieu.

L'autre solution possible, c'est qu'il est complètement fou et que son fils aussi. Allez savoir ...

On avance également du côté de Tom et Christine, toujours en fuite.
Après un coup de fil de Wayne, Tom va découvrir un autre couple dans la même situation qu'eux, échappés du ranch et avec une Leah enceinte jusqu'aux yeux et qui prend mal le fait que son élu ne soit pas si unique que ça.

Après s'être pris une balle dans la main, Tom va se retrouver sa Christine qui a accouché. D'une petite fille.

Que s'est il passé en Mai 1972 et qui a été publié dans le National Geographic ?
Certaines personnes ont déjà commencé à faire des théories à base d'araignées sous marines (dont parle Christine dans son délire), de révoltes au Caire (qui fait parti des mots qu'entend Kevin dans ses hallucinations) et de civilisation minoenne (qui aurait disparu vers 1450 av. J. C.)

Il est bien compliqué de dire ce que tout cela signifie. La série devient de plus en plus intrigante et mystérieuse.
Les disparus deviennent un élément plus que secondaire du récit et ce sont bien ceux qui restent qui sont importants.